Mes Besoins
Ma Santé

Aujourd'hui vous êtes...

à vous être exprimés
0

Vos vidéos...

Maïté

Frédéric

Sandrine

Guibert

Dominique

Apolline

Fernand

Alexandre

Florian

Emilie et Gabin

Olivier

Ilan

Alain

Eric

Frédéric

Moi, j'ai besoin...

Moi, j'ai besoin de pouvoir aller voir un psychologue sans devoir rendre des comptes au médecin, pouvoir aller voir un kiné sans rendre des comptes au médecin. Pouvoir payer de mes consultations que la partie non remboursée.
vertical-logo-page-recit
Marie
Moi, j'ai besoin de pouvoir être soigné avec moins de médicament et de façon plus naturelle.
vertical-logo-page-recit
Samantha
Moi, j'ai besoin que les médecines alternatives, naturopathe, ostéopathe, et bien d’autres, soit reconnues d’utilité.
vertical-logo-page-recit
Yannick
Pouvoir choisir de se soigner de quelques façons que ce soit est une liberté, un devoir envers nous mêmes. Mon corps et mon esprit m’appartiennent, mon choix se porte sur les médecines douces afin de travailler sur les maux du corps et les mots de l’esprit. Mes besoins se portent vers l’acupuncture, la phytothérapie, l’hypnothérapie.
vertical-logo-page-recit
Chloé
Electrosensible depuis 1 an pas facile de se faire comprendre auprès de chirurgiens quand on doit se faire opérer. J'ai besoin que ceux-ci soient formés au moins sensibilisés ainsi que les généralistes à nos problèmes !!! Il serait bien également que les traitements et visites chez le spécialiste des EHS soient pris en charge par la sécu et mutuelle.
vertical-logo-page-recit
Dominique
Moi, j’ai besoin de sentir que les différents thérapeutes qui me suivent travaillent main dans la main et non les uns contre les autres. Il n’y a pas de compétition dans le domaine de la santé et voir des professionnels de milieux différents (allopathie, naturopathie, sophrologie…) qui développent un réseau d’entraide pour soutenir le bien-être de chacun est selon moi l’un des meilleurs exemples que l’on puisse donner aux patients. Je recherche également de l’écoute, de la bienveillance, de la compassion et de la pédagogie pour que je puisse prendre en main mon bien-être et devenir petit à petit autonome face à ma santé.
vertical-logo-page-recit
Mélanie
Moi, j’ai besoin que mon médecin soit à l’écoute de mes besoins et adapte sa prise en charge. J’aimerais qu’il puisse m’orienter vers des thérapeutes complémentaires et qu’il soit en lien avec avec eux pour m’accompagner sur toutes les dimensions de ma santé. J’aimerai un espace où les thérapeutes prennent le temps de m’écouter et de répondre à mes questions.
vertical-logo-page-recit
Amandine
Moi, j'ai besoin que l'on revienne à un remboursement de l’homéopathie par la SS – Valoriser les syndicats professionnels permettant l’identification de thérapeutes diplômés, expérimentés et compétents (ex : Syndicat des Professionnels de la Naturopathie) – Valoriser les assurances complémentaires et mutuelles prenant en charge tout ou partie des coûts de consultation de praticiens de santé en “soins hors d’un cadre réglementé” qualifiés : certaines mutuelles remboursent des consultations de naturopathes, ostéopathes, et prennent en charge un forfait pour les compléments proposés (notamment la phyto) – Organiser la reconnaissance de certaines professions (naturopathes, médecine traditionnelle chinoise, réflexologue plantaire, sofrologie, somathopathes, …) pour améliorer la confiance du grand public et éviter le charlatanisme.
vertical-logo-page-recit
Georges
Je suis MCS (Sensibilité Chimique Multiple) et EHS (Electro-Hyper-Sensible). Moi, j’ai besoin de praticiens de santé formés à la connaissance de ces pathologies et pouvant proposer des traitements allopathiques (Médecins généralistes, dentistes holistiques, gynécologues…)
vertical-logo-page-recit
Nancy
Moi, j'ai besoin que les médecines douces fassent partie intégrante de la panoplie de thérapies proposées aux malades et remboursées par les caisses d’assurance et que chacun, en prévention, puissent y avoir recours en toute confiance.
vertical-logo-page-recit
Sylvie
Moi, j'ai besoin que les bienfaits de la santé intégrative soient pris en compte par les politiques publiques : diplômes/certifications… reconnus, remboursement par l’Assurance Maladie ….
vertical-logo-page-recit
Nor
Moi, j'ai besoin que mon corps soit pris en charge dans son tout. Corps esprit. Et autant que possible en prévention. Ne dit-on pas "mieux vaut prévenir que guérir" ?
vertical-logo-page-recit
Christine
Moi, j’ai besoin de prendre soin de moi, de ma famille grâce aux médecines dites alternatives comme l’acupunture, la naturopathie ou l’ostéopathie … et aller voir mon médecin traitant quand cela est nécessaire. A l’heure actuelle les médecines alternatives n’étant pas prises en charge cela n’est pas toujours évident financièrement surtout quand on a des enfants.
vertical-logo-page-recit
Virginie
Moi, j'ai besoin d'un accès facilité a une médecine préventive, avec naturopathie, herboristerie, ostéopathie, massages, aromathérapie, reconnue et remboursé. J'aimerais également un accès facilité à des parcours de santé, pistes cyclable, et à la mer pour tout le monde. Un enseignement scolaire sur la prévention santé, avec cours de diététique et d'écologie.
vertical-logo-page-recit
Béatrice

Vos témoignages...

En grave dépression, je me suis tournée vers l’hypnose. Cela a été une véritable découverte et m’a certainement sauvé. Depuis plusieurs années je continue à régler plusieurs choses et je vis beaucoup mieux. Je ne suis plus malade constamment, je m’énerve moins et cela fait un bien réel.

Samantha

Je suis chimico-sensible depuis 12 ans ; mon errance médicale a été longue malgré de nombreuses consultations ; jusqu’au jour où j’ai trouvé l’association SOS MCS qui m’a permis de mettre un nom sur ma maladie et à savoir que je n’étais pas seule à souffrir de ces maux “bizarres”. Il m’a fallu 2 ans de recherche pour parvenir au diagnostic ; quant à la prise en charge et au traitement, toujours rien !

Début brutal en juin 2009 par une crise d’asthme au cours d’une consultation ( 1ère crise d’asthme de ma vie, donc pas de traitement à ma disposition ). Les crises se sont répétées ( mise en route d’un traitement des symptômes ) et recherche des causes : les produits parfumés portés par mes patients (parfums, produits de toilette,lessives et assouplissants,…. ) sont apparus rapidement comme des facteurs déclenchants. Une recherche google “parfum et asthme” m’a conduite à une association canadienne l’Association pulmonaire , qui n’a pas voulu de moi, puis à l’association française, l’ASEF ( Association Santé Environnement France) où j’ai trouvé une information su le MCS ou chimicosensibilité; enfin, j’ai trouvé l’association SOS MCS, ouf ! Entre temps, consultations multiples, détresse, agressivité, même envers mes patients et mes relations qui ne comprenaient pas mon handicap ( invisible );. Décision de modifier de fond en comble mon environnement personnel et professionnel, pour pouvoir continuer à vivre et à travailler. Malgré tout, confinement continuel : car j’ai du abandonner nombre d’activités ( théâtre, cinéma, transports en commun comme le train, vacances, sorties,……………………. ) . Le confinement pour raisons sanitaires ne nous gêne pas vraiment, nous en avons l’habitude !

Je joins une émission de radio : Éouter le podcast de RADIOMEGA “A l’ombre de la patience des anciens – Syndrome  MCS”

Christine

centre-sante-amandine-62Je suis fondatrice d’un centre de médecine intégrative. Pour le penser et le créer, je me suis basée sur les retours et les besoins exprimés de mes patients, ainsi que sur les miens. Habituée des hôpitaux dès mes 15 ans pour la prise en charge d’une leucémie, j’ai été confrontée à un manque de cohérence dans le parcours de soins : une médecine très paramétrée, protocolisée où chaque spécialiste a un champ d’action précis, sans prise en compte de ma personne dans sa globalité, sans prise en compte des effets secondaires des traitements (“c’est normal”…), ni les répercussions émotionnelles, sociales, familiales, spirituelles, dans un cadre peu propice au retour à la santé. Forte de ma propre expérience, j’ai décidé de prendre soin autrement, de redonner au patient la place principale dans son parcours et de l’accompagner de façon bienveillante et holistique et lui offrir un cadre de soins naturel, chaleureux et accueillant. Ce modèle de santé est tellement plus enrichissant pour le patient et aussi le soignant.

Amandine

Je suis ehs mcs et intolérante à plein de trucs gluten lactose additifs E95X, etc. Le point commun de toutes mes affections est : la modification de mon environnement et ses composants de l’alimentation. Si j’avais vécu il y a 100 ans j’aurais jamais été malade. Aujourd’hui je ne peux pas rester là où on a pulvérisé des produits, je ne peux presque rien manger (enlever le lait et le blé (et cie gluten) de votre alimentation. J’ai eu une ablation de la thyroïde parce que la médecine a dit que c’était dans ma tête ! Oui sûr dans la tête des fous qui créent n’importe quoi pour faire du fric au détriment de la santé des gens.

Ma proposition : enlever tout ce qui rend malade : les composites à mercure dentaires et les aluminium sous toutes formes qui mettent des métaux lourds dans le corps et rendent ehs, eradiquer la maladie de lyme dès l’apparition de symptômes antibiothérapies suivies ce qui empêchera les maladies à bas bruit les infections diverses bactériennes et les candida , interdire sans controle extérieur la mise en commerce de tous leurs produits de l’industrie qui ne créent que des poisons et disent que ça n’est pas nocif car ils ne feront jamais les vraies études qui le prouvent. (laboratoire vraiment indépendant) ! Je sais que toutes mes affections me tueront j’espère juste que dans le futur personne ne vivra comme moi malade de mon environnement.

Maria

Si chaque thérapeute sait rester à sa place dans le cadre de la gestion de la santé publique, des ponts pourront exister entre le corps médical et les thérapeutes en “soins hors d’un cadre réglementé” . La compétence, l’expérience, la connaissance des compétences de chacun et le respect mutuel sont nécessaires. Le GETCOP oeuvre dans le sens de l’expérimentation et l’évaluation de thérapies complémentaires pour leur évaluation scientifique, en milieu conventionnel.

Georges

Chimico-sensible depuis ma naissance, ma mère ayant pris des hormones de synthèse durant la grossesse ; cette pathologie s’est aggravée au cours de ma vie. Ayant aussi subi une intoxication chronique aux métaux lourds (Mercure…) du fait de nombreux amalgames métalliques dentaires en bouche ; je suis devenue ElectroHyperSensible en 2014 à l’arrivée de la 4G avec un nouveau Smartphone. Ces deux pathologies très mal reconnues encore en France isolent les patients de plus en plus en leur compliquant la vie personnelle et sociale (Forte intolérance aux molécules chimiques de synthèse (médicaments, parfums cosmétiques et de produits d’entretien) et aux champs électromagnétiques basses et hautes fréquences (Ondes) (ampoules fluocompactes, Wifi, Téléphones portables, Bluetooth, Détecteur d’alarme, CPL des compteurs LINKY, compteurs communicants Eau et Gaz, 4G, 5G. tout objet connecté par onde électromagnétique…).

Nancy

La santé de demain ? Et bien sera celle que nous tissons aujourd’hui ! Comment ? ….Avec des prises de conscience sur la nécessité d’intégrer des pratiques et des thérapies en lien avec la prévention et bien-être à la santé. Pourquoi ?…Pour le respect et l’évolution de la santé humaine dans une société qui bouge. Pour qui ? …. pour le bien d’autrui et la qualité de vie. Ensemble construisons l’avenir…. ici et maintenant !

Elisabeth

phb-cabinet-consultationMes besoins en santé s’inscrivent depuis maintes années dans un parcours de santé et un parcours de soins intégratifs. J’ai recherché des thérapies – à visée de prévention ou de soutien curatif – dispensées par des praticiens soucieux d’intégrer des approches non médicamenteuses parmi un panel de thérapies dont ils pouvaient disposer (homéopathie, acupuncture, ostéopathie, pratiques énergétiques, hypnose, balnéothérapie, activité physique adaptée…).

Mes demandes et mes attentes ont trouvé une résonance avec des thérapeutes qui, très tôt dans leur cursus professionnel, ont su associer des interventions complémentaires en santé. Ils ont répondu à mon souhait de prise en charge en tant que personne, donnant ainsi une place concrète à une médecine holistique traitant mes besoins en santé dans leur globalité et mon vœu d’en être pleinement acteur. Cette association d’approches, intégrées avec discernement et pertinence, m’a placé au cœur d’une alliance thérapeutique humaniste et bienveillante. Celle-ci participe d’une vision d’une médecine intégrative et d’ “une médecine de la personne”.

Philippe

chenes-vieux-peterhof

“Chênes dans le vieux Peterhof”, Ivan CHICHKINE, (1891) évoque pour moi une symbolique de la médecine intégrative : l’enracinement dans la connaissance académique et l’association, par les couronnes des chênes, à des interventions complémentaires en santé.

L’otite de mon enfant de 2 ans et 1/2 a été diagnostiquée par mon médecin traitant qui a prescrit des antibiotiques. Nous ne les avons pas données. C’est une ostéopathe, spécialiste des nourrissons et enfants dans un hôpital, qui l’a soignée par manipulation de l’oreille. Elle a également massé le ventre pour faire évacuer les glaires accumulées dans l’estomac. En 2-3 séances, elle a réorienté le conduit pour permettre un bon écoulement. Les glaires se sont retrouvées dans les selles, tout a fonctionné comme elle nous l’a expliqué. L’ostéopathie peut soigner beaucoup de maux. Il faut toujours y penser avant d’envisager les médicaments.

Stéphanie

L’approche de la santé est en train de changer pour prendre en compte la globalité de l’homme et non pas ses seuls symptômes. Nos institutions ne pourront pas endiguer beaucoup plus longtemps cette immense attente de la population vers davantage d’écoute, de considération, d’une prise en charge moins mécanique, de plus d’humanité dans la relation en somme.

Frédéric

Vous aussi... Participez !